f/m/nb 11/16 libre(s) — Les Baskerville
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Theseus Baskerville
Messages : 15
Pseudo : Oiseau De Malheur | Il/Iel
Faceclaim : Thomas Tapy
Crédits : Chaarlyth | OiseauDemalheur
Selfie :
Citation : I climbed to the sun and fell in a concrete jungle.
Âge : 27 ans
Pronom : Il/Lui
Statut Civil : Celibataire
Occupation : Héritier de l'entreprise Baskerville
Habitation : Manoir Baskerville - GREENWICH
Triggers : C'est a discuter, mais mostly la pédocriminalité et la zoophilie
Warnings : Trauma, Self-arm, auto-destruction, dépression, dissociation, violence, relation toxique, famille dysfonctionnelle
LES BASKERVILLE
The lone dog dies
But the pack survives.
But the pack survives.
THEME | MOODBOARD | PLAYLISTDARK ACADEMIA 🟄 ECOSSE 🟄 FAMILLE DYSFONCTIONNELLE 🟄 ADOPTION 🟄 TRAUMATISMES 🟄 CLAN 🟄 TRADITIONS 🟄 CHEVAUX DE COURSES 🟄 CHIENS 🟄 RICHESSE 🟄 PARIS ILLÉGAUX 🟄 TRUCAGE DE COURSES 🟄 CRIME ORGANISÉ
THE MOON IS HERE.
Derrière le portail, les chevaux dévalent la terre. On devine leurs hennissements, les sabots sur la pierre. La brume bouffe l’herbe des prés. Il y a l’odeur de la paille et du fumier.
Derrière le portail, les voitures disparaissent. Sur le chemin interminable. Les hommes hurlent, les chiens rappliquent. Les crins des chevaux s’évanouissent. Les oiseaux se taisent.
On ne distingue pas la maison. On la suppose grande et dévorante. Sombre comme leurs vêtements. Une tanière assez grosse pour tous ceux-là. Pas de rires d’enfants sous le toit. Ils ont probablement fondu dans la pierre. Ils ont sûrement été dévorés.
Chez eux, les joues sont creusées, leurs yeux ont vu la guerre. On les reconnaît bien, les habitants du manoir. Jamais sans un chien, jamais sans rien.
Devant les Baskervilles, il y a un portail, de piques et de crocs. Il fait reculer ceux qui ne sont pas dignes d’entrer.
FAMILLE, ENTREPRISE ET LEGENDES.
Les Baskerville hurlent l’hymne de la survie. L'emblème du chien agonisant est cousu sur leur peau. C’est pour ne jamais oublier les galères. Pour se rappeler d'où ils viennent. Parce qu’ils ont connu le manque et les drames. Ils sont le symptôme des galères et des larmes. Un conte moderne de nos peurs et besoins. La mort, la solitude, l’abandon, l'argent, la conquête. C’est la bouffe qu’ils avalent le matin.
Ils ont la peau dure et les dents serrées, ces gens-là.
Ils ont croqué assez d’os pour apprendre à les briser.
Des envieux diront qu’ils tiennent plus du chien que de l’homme. Qu’ils sont le miroir des bêtes qu’ils adoptent. Personne pour comprendre leur fidélité à la nature. C’est ce qui les a sauvés eux enfants d’Écosse et d’ailleurs. Ils sont peut-être les mi-clébards, qui sait. Cette part, elle expliquerait au moins leur voracité. Une rage sans fond qui leur fait bouffer le monde. Celle qui les a tiré jusqu’en haut. À grands coups de griffe et de crocs.
Alors les insultes, ils s'en branlent.
Parce que c’est ce qui les garde unis, ensemble.
Les Barkerville, c’est une machine bien huilée. C’est une fortune qu’ils étalent car durement gagnée. Des grosses voitures et des costumes à trois chiffres. Un orgueil arraché aux plus riches d’une poignée de main. Anciens prolétaires ou nouveaux riches, c’est comme vous voudrez. Pour eux, ils resteront travailleurs. Les mains crades et la face noircie. Là-bas, on met tous la gueule dans la casse. On se dégueulasse en famille. On se couvre d’argent sale et de fumier puant. C’est ça, la meute Baskerville.
« Le chien seul crève, mais la meute, elle, survit. »
Une institution des champs de courses. Des chevaux qu’ils sortent d’on-ne-sais-où. Ils sont arrivés un jour. Leurs culs fait de tartan bleu et vert. Des costumes qu’on dirait d’un autre temps. Ils se sont installés, avec leurs montures. Puis plus personne pour les déloger. C'était discret, au début. Quelques défaites, quelques victoires. Quelques échanges discrets. Quelques chevaux en plus, quelques autres en moins. Forcément, on a posé des questions. Ça a gueulé fort contre ces chiens. Tellement fort, qu’ils en ont perdu la langue. Ou quelques autres trucs qu’ils aimaient. Assez pour qu’on ai plus envie de déranger.
Puis les billets ont glissé de mains en mains. Ils ont gagné du terrain, ont pris toute la place. Chaque champ a été rongée et maché. Bientôt, pas un endroit sans qu’on ne connaisse pas les B. Pour leurs machines qui ravagent les courses. Pour leurs paris déments qui fait aboyer Londres. Ils savent vous avoir, avec leur argent facile. On les admire du haut de leurs places VIP. On prie pour leur victoire.
Une course ça se décide, ça ne se gagne pas.
C’est comme ça qu'on se fait des amis. Il faut savoir gagner le respect des bonnes personnes. C’est l’argent qui met tout ce monde d’accord. On fait fructifier les connaissances. Le bras s’allonge jusqu'à toucher les hautes sphères. Jusqu'à ce que les petits-bourgeois deviennent un cure-dent. On vise haut, on s’arrange avec les casques bleus et les couronnes dorées. Le champagne pétille jusqu’au matin. Le satin double le tartan.
On est propre du dehors, parce qu’on sait être crade, en dedans.
Ils ont la peau dure et les dents serrées, ces gens-là.
Ils ont croqué assez d’os pour apprendre à les briser.
Des envieux diront qu’ils tiennent plus du chien que de l’homme. Qu’ils sont le miroir des bêtes qu’ils adoptent. Personne pour comprendre leur fidélité à la nature. C’est ce qui les a sauvés eux enfants d’Écosse et d’ailleurs. Ils sont peut-être les mi-clébards, qui sait. Cette part, elle expliquerait au moins leur voracité. Une rage sans fond qui leur fait bouffer le monde. Celle qui les a tiré jusqu’en haut. À grands coups de griffe et de crocs.
Alors les insultes, ils s'en branlent.
Parce que c’est ce qui les garde unis, ensemble.
Les Barkerville, c’est une machine bien huilée. C’est une fortune qu’ils étalent car durement gagnée. Des grosses voitures et des costumes à trois chiffres. Un orgueil arraché aux plus riches d’une poignée de main. Anciens prolétaires ou nouveaux riches, c’est comme vous voudrez. Pour eux, ils resteront travailleurs. Les mains crades et la face noircie. Là-bas, on met tous la gueule dans la casse. On se dégueulasse en famille. On se couvre d’argent sale et de fumier puant. C’est ça, la meute Baskerville.
« Le chien seul crève, mais la meute, elle, survit. »
Une institution des champs de courses. Des chevaux qu’ils sortent d’on-ne-sais-où. Ils sont arrivés un jour. Leurs culs fait de tartan bleu et vert. Des costumes qu’on dirait d’un autre temps. Ils se sont installés, avec leurs montures. Puis plus personne pour les déloger. C'était discret, au début. Quelques défaites, quelques victoires. Quelques échanges discrets. Quelques chevaux en plus, quelques autres en moins. Forcément, on a posé des questions. Ça a gueulé fort contre ces chiens. Tellement fort, qu’ils en ont perdu la langue. Ou quelques autres trucs qu’ils aimaient. Assez pour qu’on ai plus envie de déranger.
Puis les billets ont glissé de mains en mains. Ils ont gagné du terrain, ont pris toute la place. Chaque champ a été rongée et maché. Bientôt, pas un endroit sans qu’on ne connaisse pas les B. Pour leurs machines qui ravagent les courses. Pour leurs paris déments qui fait aboyer Londres. Ils savent vous avoir, avec leur argent facile. On les admire du haut de leurs places VIP. On prie pour leur victoire.
Une course ça se décide, ça ne se gagne pas.
C’est comme ça qu'on se fait des amis. Il faut savoir gagner le respect des bonnes personnes. C’est l’argent qui met tout ce monde d’accord. On fait fructifier les connaissances. Le bras s’allonge jusqu'à toucher les hautes sphères. Jusqu'à ce que les petits-bourgeois deviennent un cure-dent. On vise haut, on s’arrange avec les casques bleus et les couronnes dorées. Le champagne pétille jusqu’au matin. Le satin double le tartan.
On est propre du dehors, parce qu’on sait être crade, en dedans.
en plus
Pour les zinzins avides de lore et de détails (comme moi).
- La vie secrète des Baskerville :
L’histoire Baskerville est vaste. Parce qu’elle croise autant de vécu que morts, que de mariages, que d’adoptions. On a jamais été surpris de voir Darius accroché au bras de son père. Ni de voir le tartan traditionnel porté par une peau matte.
Il reste pourtant le souvenir, celui de la branche principale. Celle qui découle d’Écosse. Celle qui a apporté son cul laineux sur Londres. Originaires du Nord, ils étaient éleveurs de moutons. Une famille de sorcières, comme on aimait les appeler. Une famille de sorcières et de bâtards.
Un clan isolé, qui traversait les épreuves seules. Leur première fortune se fit durant la Seconde Guerre mondiale. La viande et la laine de mouton vendue à prix d’or. Une richesse obtenue par les femmes de la famille. Elles prendront alors la tête des affaires. Ce n’est que lors de la disparition de la dernière chef‧fe de famille que Sylas, son frère, prit la tête de la meute.« Avant de voir un Baskerville,
on aperçoit son chien. »
Un dicton connu des champs de courses. La réputation de leurs canidés n'est plus à faire. Ils sont leurs ombres et leurs compagnons les plus fidèles. Chaque individu décide de la race qui l’accompagnera autour de ses 16 ans. Certains membres désignent la même race. Métaphore du fort lien qui les unit. Une fois la race canine choisie, la personne est officiellement un membre de la famille. Iel peut dès lors participer aux affaires de la famille.Le manoir et les Écuries.
Posés sur un terrain à la bordure de Londres (Greenwich); la propriété Baskerville se cache derrière des murs épais. Héritée d’un mauvais payeur, l’ex-matriarche y a ajouté les écuries ainsi qu’une piste d’entraînement.
Theseus Baskerville
Messages : 15
Pseudo : Oiseau De Malheur | Il/Iel
Faceclaim : Thomas Tapy
Crédits : Chaarlyth | OiseauDemalheur
Selfie :
Citation : I climbed to the sun and fell in a concrete jungle.
Âge : 27 ans
Pronom : Il/Lui
Statut Civil : Celibataire
Occupation : Héritier de l'entreprise Baskerville
Habitation : Manoir Baskerville - GREENWICH
Triggers : C'est a discuter, mais mostly la pédocriminalité et la zoophilie
Warnings : Trauma, Self-arm, auto-destruction, dépression, dissociation, violence, relation toxique, famille dysfonctionnelle
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- Résumé:
- Il a pris la place de sa sœur. Il a adopté le même chien qu'elle. Un peu par souvenir, surtout par idéaux. Il veut être le plus grand, le plus fort. Il a atteint le haut de la chaîne alimentaire et compte y rester. Ses mots sont des tacles sans appels. Ses yeux, deux balles qui vous transpercent. Sylas, c'est la brutalité d'un esprit, la violence d'une pensée.
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- Résumé:
- On ne voit pas une tête comme la sienne très souvent. Petit‧e déjà, iel menait ses adelphes par le bout du nez. Calculateur‧ice, cerveau sur pattes, on ne lui cache rien. A la mort de la matriarche iel fut tout‧e désigné‧e. Admiré‧e et crain par son propre clan on ne s'explique par sa disparition. Aux abonnés absent durant presque 20 ans, sa réapparition sera un choc. Une confrontation qui coupera la famille en deux. Une guerre fratricide qu'iel compte bien remporter.
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- Résumé:
- Un rire incomparable, une poigne à vous décoller les dents. Les chiffres roulent entre ses doigts comme les corps. Amteur‧ice de plaisir et d’alcool, iel est un‧e habitué‧e du white snake. Adelphe par alliance, iel à gagné chien et place chez les Baskerville. Iel prend soin des derniers chiots de la famille à sa manière. Sûrement, parce que la nature n’a jamais voulu lui en donner.
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- Résumé:
- Peut-on revenir indemne de la guerre ? Iel vous répondra que non. Son passé est aussi flou que ses yeux. On lea surprend souvent perdu dans ses souvenirs. Ce qu’iel en garde, c’est un savoir long comme le bras. Des techniques pour vous faire disparaître à peu près tout. Ça ne lui plait pas, de devoir faire de nouveau ça. Mais c’est la famille, c’est tout ce qu’il lui reste. Et iel ne peut pas perdre ça non plus.
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- Résumé:
- Une fratrie recomposée, enfants du patriarche. Jeunes et déjà brisé‧es, iels s’accrochent à ce qu’il leur reste d’humanité. On perd forcément un bout de soi dans cette famille. Ils connaissent le prix de la survie. Puanteur d’une adolescence mal lavée. Fruit du dysfonctionnement et des larmes. Ils sont la relève, la fin d’un cycle.
• @Romulus Baskerville
• @Darius Baskerville
• "Theseus Baskerville"
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- Résumé:
- À deux, tout est plus simple. Toujours fourré l’un contre l’autre. Jamais bien loin de leurs trois cousins. Iels en ont vu des choses. Entre eux, c’est une bulle d’oxygène qui se raréfie. Autrefois, reflet de l’autre, la distance se creuse. Ils ne veulent plus les mêmes choses. Grandir est une amère vérité. Écartelé, il affronte la réalité de deux chemins séparés.
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- Résumé:
- Les Baskerville n’aiment pas les solitaires. C’est pour ça qu’on fait les enfants par portés. Ellui c’est l’exception à la règle. Un‧e rejeton‧ne sans nouvelles de son géniteur. Iel a grandi un peu à part, loin de l’Ecosse. Finalement, même sa mère n’a plus voulu d’ellui. Renvoyé chez les siens par le premier train. Sans rien, sans personne. Une pile électrique que personne ne retiens. Iel touche à tout avant de se plaire à casser des nez. Iel s’occupe des mauvais payeurs, des parieurs endetté. C’est pour récupérer tout ce qu’on ne lui a jamais donné.
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- Résumé:
- Autre fois douze Adelphes, on ne les compte plus. De sang ou de cœur, tous ont une place à la table familiale. Ils sont frères et sœurs du patriarche. Cavalier en armure de tartans. Dignes âmes clébarde.
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- Résumé:
- Enfants Baskervilles, ils seront l'avenir. Adoptés ou portés qu’importe. Ils sont de l’âge des jumeaux et des trois frangins. Ils portent le deuil et la rage d’une famille. Puissent-ils ne pas se perdre en chemin.
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- Résumé:
- Ni cousins, ni frères, ni parents. Un jour ou l'autre, ils sont tombés du panier. One of us, la même peau brûlée et crocs arrachés. Son âme est comme la leur. iel choisira son chien. Iel portera le tartan. Qu'importe son sang.
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- Résumé:
- À compter les chevaux iel en a perdu le sommeil. C’est un‧e étrange personnage qui veille sur les Baskervilles. Insomniaque désespéré‧e, rêveur‧euse éveillé‧e. Ses années de loyaux services, on fait d’ellui l’un des leurs. On le‧a à croise à l’aube comme à minuit. Accompagné‧e de son chien cerné. Rien ne lui échappe à ellui, non, aucun secret.
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- Résumé:
- Pas facile de faire sa place chez les Baskerville. On attend beaucoup d’ellui. Il faut dire qu’ils en valent de l’argent ces chevaux. Mais sa réputation le‧a précède. Âme passionnée sans attache et cœur au mariage décrépit. Seul son travail l’éclaire dans la nuit. Entre chiens et maîtres mystérieux, peut-être, trouvera-t-elle ce qui lui manquait. Ce qu’elle n’a jamais voulu s’avouer. (voir PL de @Darius Baskerville)
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- Résumé:
- Leur taille n’a pas toujours été un avantage. Pas plus que ce caractère qu’on leur reproche. Outsider dont personne ne voulait. Les Baskervilles ont vu en eux un potentiel. On dit d’eux qu’ils font courir les chevaux jusqu'à faire exploser leur cœur. Qu’ils galopent comme montent les cavaliers de l’apocalypse.
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- Résumé:
- On se lève à l’aube, botte crasseuse et chaussettes pleines de paille. Le travail est éreintant, mais il paie pas trop mal. Brosser les robes, lustrer les cuirs, récurer les box. On selle les montures, on les regarde galoper. Le soir, on rentre tout le monde du pré. On mange ensemble dans un local. C’est simple, mais c’est mieux que rien.
• @Romulus Baskerville
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- Résumé:
- Chez les Baskerville, on a conscience des galères. Alors ils ne rechignent pas à l’idée d’employer. Cuistot à la dérive, ou nettoyeur‧euse en demande. Assez paumé‧e‧s pour pouvoir franchir les portes du manoir. La plupart n'y restent que pour un temps. Mais certains portent en eux l'espoir. Celui d'un jour enfiler le costume bleu et vert.
c'est fini !
Salut ! Et bravo d’être arrivé au bout de mon PL(on te donne une couronne et un trophée en plastique pour cet exploit promis. ). Si tu essaies encore de me lire, c’est que tu as peut-être craqué pour un de mes PL’s (j’vais pas pleurer. ). J’en ai déjà beaucoup dit plus haut, mais j’peux encore être un peu bavard si tu veux tout savoir eheh !
Alors, je dirais que, au-delà de ce que j’explique dans les PL, tu peux faire comme bon te semble. J’aimerais juste qu’on privilégie les fc de personnes racisé‧e‧s pour les PL’s des Baskervilles adoptés, on peut en chercher ensemble si besoin ! Il y a d'ailleurs une Masterliste que j'aime bien pour les fc plus agés je le met ici !. Ensuite, il faut juste faire attention que l’histoire colle bien avec les temporalités des autres personnages (Je suppose qu’on sera pas à l'abri de quelques incohérences, c’est pas non plus la mort en vrai). Si tu préfères un autre chien pour l’un des PL, tu peux me le proposer aussi, j’aimerais juste garder les mêmes vibes. Les âges et les genres proposés ne peuvent pas changer cependant.
En ce qui concerne ma petite famille, je ne tiens pas à jouer d'homophobie, de racisme ou autre LGBTphobie. Il n’y en a donc tout simplement PAS chez les Baskervilles. Il y a des violences psychologiques et beaucoup de traumas, oui, mais pas de ça. Comme je le dis souvent, « ce sont des sombres connards, mais pas des monstres » . Je tiens à ajouter aussi que, étant très sensible au sujet de l’inceste, je ne veux pas non plus en voir joué dans la famille Baskerville.
Sylas n'est pas jouable, mais si tu veux te l'imaginer, je le vois bien avec [je dois retrouver un fc mdr] en faceclmaim ! Scary dad
J’crois que j’ai fait le tour de ce que je voulais dire. Je suis totalement open pour ajouter des rôles. C’est pour ça que je laisse certains rôles en infini. Évidemment, les Baskervilles ne sont pas une nuée non plus. Mais l’idée, c’est de dire qu’il y a de la place pour toi, si tu veux. Also, je prends avec plaisir les liens que l'on pourrait me proposer pour les Baskerville, que ce soit parieur, clients investisseurs où autre !
J’vais pas te cacher que j’ai mis beaucoup trop d'énergie dans ce PL mdr. Si tu nous rejoins, sache qu’il y a encore plus de lore qui t’attend. Des memes nul qu’on balance a 3h du matin. Et probablement des Rp tristes ou on doit enterrer le chien d’un de nos perso. C’est un peu la famille Adams, mais en marron et crème finalement.
Voilà, c'était ma dernière bafouille. Je réponds sur discord et sur forum, mais j’aime surtout discord. J’suis dispo pour toute question, blagues nulles et propositions en tout genre ! À très bientôt, je l’espèèèèère
(icons) oiseaudemalheur, (dessin) oiseaudemalheur .
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