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runaway baby (( amedeo ))

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Nix Calloway
Nix Calloway

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Pseudo :  soletear (elle)
Faceclaim :  zendaya coleman
Crédits :  av. soletear ; gif aj ; sign. ice and fire.
Selfie :  runaway baby (( amedeo )) 2117b9f6484a926ff038432e03784da0
Citation :  death can't catch me.
Âge :  les (( vingt-sept )) cliquetis de l'enfer, les nuits effrénées, et le corps carbonisé ; panique résonnant dans carne estropiée.
Pronom :  elle/she
Statut Civil :  déesse abandonnée au gré des linceuls, essence de vie saupoudrée quand coule passion éphémère sous le derme, (( célibataire )) dans le choix de se donner.
Occupation :  volatile se pose sur branche fraternelle, derrière le bureau du club de boxe, (( réceptionniste au red phoenix )) pour corps à sculpter et des âmes à briser.
Habitation :  coeur du foyer modelé par le punk, loyer abordable et vie nocturne enflammée, (( camden )) en égérie dans l'appartement chaotique.
In game :  
4/5
amedeo ; skylar ; sophie ; hunter ; x

> dialogues en en/fr (préférence pour l'anglais)
> environ 500 mots (je peux aller à plus suivant l'inspi du moment)
> réponse rapide à moyenne (une semaine à deux semaines)

Triggers :  maltraitance animale, inceste, pédophilie
Warnings :  maltraitance infantile, cicatrices, violences sexuelles (sur mineure), harcèlement, musophobie, narcissisme, meurtre, combats illégaux, traumatismes divers

   https://concretejungle.forumactif.com/t770-under-the-red-moonlight-nixhttps://concretejungle.forumactif.com/t794-midnight-darkness-in-https://concretejungle.forumactif.com/t795-nixfury
runaway baby


well, look here, what do we have?
another pretty thang ready for me to grab
does he know that i'm a wolf in sheep's clothing?

TW/CW : rien (pour l'instant).

La journée se dessine avec une lenteur affligeante. Début de semaine, début de peine pour tous ceux qui osent traîner leurs carcasses maudites jusqu'au temple de la souffrance. Rémunération comme unique vocation, la salle fermée qui accueille les poings rageurs de la déité avant de concéder les heures de travail. Bureau qui amuse le reste de son temps, les sourires perdus, les blagues pendues aux langues joueuses des habitués. Toujours le même rituel, les mêmes schémas. Rares sont les nouveaux qui poussent les murs du club, car le frangin a su se constituer une belle clientèle rapidement. Finances en berne l'ont pourtant obligé à agrandir le club au sport plus qu'à la boxe, salle dédiée à ceux qui ne viennent chercher que le cardio sans les coups. Au final, ça ne change pas grand chose à l'emmerdement de Nix. L'insolente pique du nez, s'affaisse dans son fauteuil tout en sortant l'écran bleu pour la divertir. Le temps s'égrène, déverse malicieusement ses longues minutes. Une heure se disperse peut-être dans l'inattention de la réceptionniste. Assez pour baisser sa vigilance, parce que derrière le comptoir, elle ne sert pas qu'à faire don de sa tronche et de ses permissions. Gardienne à elle seule, la puissance des connaissances fraternelles cédée jusque dans ses muscles. Elle a maté des plus imposants qu'elle, fureur du petit modèle plus destructeur que le fort des poids lourds.

La porte s'ouvre sur une ombre solitaire, loin des dégaines sportives qui s'aventurent en ces lieux. Nix ne le regarde pas, absorbée par une connerie sur le net. Encore un habitué, ou peut-être pas. L'inattendu attrape la belle qui tique lorsque le cuir dépasse son bureau pour pénétrer dans la première salle. Sans une salutation, pas un écho de bonne éducation. Oeillade suspecte détaille le gaillard qui se paume dans les couloirs. Grandeur tressaille sous le charisme qu'il cherche à exposer, habillage de sa carne ne présage rien de bon. En furie, la réceptionniste sort de son cadre et se précipite vers l'inconnu. Un éclair et elle s'éclaire devant lui. De sa hauteur, elle a de quoi lutter avec ses cieux. Pas d'intimidation masculine aujourd'hui, ni jamais. « Hello to you too. You might not be aware of the rules here. No one comes in and out without telling me. » Index méprisant pointe du doigt le bureau où gisent des papelards et son portable qui continue de faire tourner des vidéos. Attention se reporte sur l'inconnu, et ces prunelles azur qui se dessinent comme une malédiction. Des beaux yeux, ça ne devrait pas être donnés à des salauds. « And you are ? Not a member i guess. Do you have an appointment ? », qu'elle soupire d'un air dépité. L'animation n'est pas de refus, les enflures, elle s'en passerait bien. Divine s'extirpe du silence pour baragouiner son impatience. Silence malheureux du quidam ne fera qu'entraîner sa perte, surtout s'il essaye de la contourner. « Are you looking for something ? » Bras croisés sur sa poitrine, elle toise de sa superbe les contours de l'égo masculin, les pattes prêtes à stopper l'élan du forcené.


DON'T GO INSANE
tell me all the ways you need me. catch me or i go.
Amedeo Mancini
Amedeo Mancini

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Crédits :  soletear <3
Selfie :  runaway baby (( amedeo )) Tumblr_pnoxduDsSo1y7cb1oo1_500
Citation :  lasciate ogne speranza, voi ch'intrate
Âge :  Trente-quatre années que le miracle se répète. Il est toujours debout, Amedeo, debout parmi les cadavres, parce que c'était eux ou lui.
Pronom :  il / lui
Statut Civil :  Cavalier va seul, aux aguets d'un adage qui dit qu'il n'y a pas pire faiblesse que l'attachement, pas pire tare que la faiblesse.
Occupation :  Ne tient pas en place sur le trône de sel. Sa brûlure se répand sur la ville qu'il ravage à feu et à sang.
Habitation :  Marbre laissé sur l'île de beauté, ici la tanière fait office de tombeau en jachère : une maison isolée au cœur de Newham abrite les méfaits.
In game :  ◊ Troisième personne.
◊ Dialogues en français et en anglais possibles.
◊ Longueur entre 500 / 1000, je m'adapte selon mon ou ma partenaire.
◊ Moyenne de temps de réponse : entre deux semaines et un mois.

Triggers :  Troubles bipolaire et borderline
Warnings :  Violence physique et verbale, usage d'armes à feu et d'armes blanches, crime organisé, mort, trafic de drogue, sexe, vengeance, torture, corruption & chantage

   
runaway baby


Other people wouldn't stay
Other people don't obey
You and me are both the same
You should really run away

TW/CW : sexisme, mention de drogue et de violence

Le royaume se perds en murmure sur son passage. On dit que le Gaucher est de sortie. De corvée de rattrapage, pas son genre pourtant de céder face à l’incompétence   de ses cabots. Mais y a des business inachevés dont on préfère écrire la conclusion. Petit dealer sans importance a autrefois contrarié le tableau parfait de l’italien visionnaire. Se serait tiré avec la formule de leur mélange si parfait, et il a suffit d’y goûter au détour d’une soirée privée pour se rendre compte que le petit chimiste avait récidivé, et fait l’affront de jouer aux copycats. Elle n'est pas brevetée, sa came. Rien n’est écrit, aussi c’est le sang et sa promesse jaillissante qui fait office de limite à ne pas franchir. Le rigolo n’aurait pas dû vendre un seul sachet de l’or copié, pas depuis la tombe où il est censé reposer. Cain le lui avait assuré. C’était le dernier job que l’insulaire lui avait confié, un cadeau d’adieu que le voyou devait bien à celui qui lui rendait la liberté. Tous n’ont pas cette chance. Tous n’ont pas l’audace de la ruiner.

Autopilote le porte jusqu’au repère du combattant, qu’il s’est juré d’aller trouver dès la semaine suivante. Juste assez de temps pour retrouver sa cible fantôme et finir le job lui-même. Il aurait pu en rester là, mais ce n’est pas qu’une histoire de résultat. C’est le principe. On n’entourloupe pas Mancini, on ne se dédouane pas de ses dernières responsabilités. On ne jouit pas de l’air pur de la légalité quand le prince de Palerme a été assez magnanime pour accorder sa clémence. Le phœnix se jauge sans grande impression, le club portant la ramure de l’ambitieux volatile, alors que les locaux reflètent le tempérament du renégat chaotique : ni fait ni à faire. L’insulaire le sait, dès lors que leurs regards se croiseront, il saura ce qui mène Mancini en ses lieux. Sa douce liberté remise sur le tapis.

Absorbé par les lents remous de l’ire éternelle, il passe devant l’office sans un regard pour cerbère. Le temps lui manque pour les plaisirs simples de la conversation. Il fond, s’enfonce dans le dédale de couloirs menant aux exhalaisons viriles et tintements mécaniques, nouveau paradis du combattant qui s’est égaré. Mais la quête est interrompue, car Méduse s’interpose. Stoppe net le pas décidé de son insolente beauté. Dommage que le chant de la sirène irrite d'emblée la cochlée. « Yeah, hi, I’m in. I’ll tell you when I’m out. » Règle risible appréciée à sa juste valeur, tandis que la furie reprend l’interrogatoire. Il n’a pas le temps pour ça. Pour admirer l’œuvre vivante qui s’agite devant lui, en revanche, il fera bien l’effort d’en trouver. La conversation pourrait même s’avérer amusante. « An appointement ? Is it a club or an office ? » Même lui, du haut de son empire, ne donnerait rendez-vous aux subalternes, aux mécréants ou aux alliés potentiels. La remarque le fait sourire, le bougre imaginant une réunion des culturistes du dimanche au sommet. Passe sur l’identité, préservant toute la saveur de sa petite surprise. Le soupir précède la réponse qu’il concède à donner pour les beaux yeux de l’enragée. « I’m looking for the man who runs this place sweetheart. Would you be a doll and go tell him someone’s here to see him. » Le voir et se rappeler à son bon souvenir. Un doigt brisé après l’autre, si nécessaire. Le regard termine de jauger l’espace imprégné de mauvaise testostérone avant de se rabattre sur le divin minois. « You look familiar. Have we met before ? » Senza la parola, sarebbe perfetta. Che spreco.  
Nix Calloway
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Habitation :  coeur du foyer modelé par le punk, loyer abordable et vie nocturne enflammée, (( camden )) en égérie dans l'appartement chaotique.
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4/5
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> dialogues en en/fr (préférence pour l'anglais)
> environ 500 mots (je peux aller à plus suivant l'inspi du moment)
> réponse rapide à moyenne (une semaine à deux semaines)

Triggers :  maltraitance animale, inceste, pédophilie
Warnings :  maltraitance infantile, cicatrices, violences sexuelles (sur mineure), harcèlement, musophobie, narcissisme, meurtre, combats illégaux, traumatismes divers

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TW/CW : misandrie, vulgarité.

Les bruits d’ambiance entre métal et râles gutturaux ne sont que des échos lointains, Cerbères baigne dans les machines depuis un moment, jusqu’à en oublier la folie de s’infliger de telles souffrances pour le plaisir de cultiver une chaire bandée à l’exercice. Silhouette frêle s’est toujours refusée au culte de l’apparence, se contentant de suer sur le ring pour rassurer l’âme soeur, lui promettre que plus jamais un enfoiré ne pourra la toucher sans en perdre les doigts. Alors, c’est dans son silence relatif qu’elle jauge l’inconnu. Ses obsidiennes croisent la glace de ses prunelles, et leurs promesses morbides qu’elle imagine tandis qu’elle décline son mécontentement. Patience trouvée par obligation dérange pourtant la créature nocturne, elle a le cataclysme dans les veines et l’impertinence au bord des lèvres. Se plier en quinze pour céder rires et bonté aux clients n’est possible que pour lui. Un autre patron et elle aurait déjà cogné l’inconnu pour moins que son oubli insolent. Car le scélérat poursuit son ignominie. Une boucle ébène tombe sur le visage de la divine qui tente d’occulter sa présence. Elle balaye son agacement d’un sursaut qui replace la rebelle en arrière. Irritée, moue terrible se dessine perfide sur le visage de Nix. La furie gronde à l’intérieur, harpie aux serres acérées la veille au salon de beauté. « I don’t know, are you a member or a troublemaker ? », qu’elle lâche sans taire l’outrecuidance qu’elle y murmure. Pitié étouffée pour ces pauvres êtres masculins, épris d’une intelligence cabossée par leur bêtise primaire. Elle le sent, l’infamie qu’il cache derrière sa gueule d’ange et ses yeux pernicieux.

Chienne des enfers, l’inconnu ignore la puissance révélatrice de son amour pour son frère. Nix ne laisse rien passer, rien qui pourrait abîmer son trésor. Alors quand le sobriquet est largué innocemment, sa carne se tend imperceptiblement. Who the fuck is this asshole ? Air nonchalant dessine son désintérêt face à l’impatient. « The boss is not here today. I provide cover when he leaves. » Et d’un sourire mutin, elle enfonce le clou dans le sexiste gerbant. « If you have something to say to Cain, talk to me instead, and not like a fucking macho. » Dans sa magnanimité, la délicate ne revient pas sur l’appellation déplacée. Car la poupée pourrait montrer les crocs plus tôt que prévu. Elle s’apprête à le guider vers l’accueil pour détailler son identité, mais le miséreux exprime une connaissance passée. D’une lorgnade mauvaise, ses traits s’esquissent méconnus. Ses pupilles ont vu trop de visages, connu trop d’énergumènes pour se souvenir d’un connard de plus. Il lui faut plus que des yeux bleus et une gueulante pour ancrer une identité. « Probably in your dreams, yeah, sweetheart. » Le soupir s’échappe mystique de ses lèvres, ses bras toujours fermes sur sa poitrine enfermée dans une veste de survêtement. « We can talk here or you can be a good boy and follow me to my desk. » Ça pourrait être simple. Hélas, l’instinct lui crie de se méfier du gaillard. Peut-être une crainte infondée, une folie passagère de l’esprit protecteur qui s’imagine l’horreur. Alors elle dévie des règles, invente sa dictature parce qu’aujourd’hui, elle est la reine. « Your ID, please. » qu’elle réclame sans une pointe de politesse, non méritée, seulement avec une main autoritaire.


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TW/CW : sexisme++, mention de drogue et de violence

Harpie se jauge à la lumière d’un intérêt nouveau. Rien qu’une étape dans sa mission, une distraction dans la pénible besogne. Personne en effet n’aime à jouer de sa cruauté pour rappeler au Judas ses obligations. Le patron a le travail consciencieux au corps, mais devant la moue boudeuse, il redeviendrait presque l’immature adolescent, l’espace d’un instant. Puéril répartie qu’il retient pour le salut de son âme. Can’t I be both ? Se contentant d’esquisser un léger sourire à la furie. Ne pensait pas tomber sur un os, aussi joli soit-il. S’il avait plus de temps, il s’imaginerait même plusieurs façons de la faire taire, de ces façons qui, il en est persuadé, ne seraient pas pour lui déplaire. Mais l’humeur amusée s’envole aussi rapidement qu’elle est venue, le lunatique soupirant le mécontentement alors qu’il apprend l’absence de celui qu’il est venu, sans aucune préparation, débusquer. « Peccato… » Le flegme revient au galop, en compagnie de la lassitude millénaire, lâchent à l’unisson les phonèmes maternelle tandis que le regard se perd dans le vide. Il maudit ses hommes de l’avoir convaincu de s’en occuper lui-même. Toi il t’écoutera, qu’ils disaient, et ils n’avaient pas tort, encore faut-il pouvoir mettre la main dessus. Ne rebondit pas non plus sur l’accusation de la gardienne, guidé par une certitude. Aucun homme, encore moins de pouvoir, ne trouvent grâce au yeux de ces enragées de féministes. Retient le fiel pour déverser le factuel. « Sorry bimba, it’s a private business. » Ni plus ni moins, il n’est pas question de vengeance personnelle, encore moins de punitions, parce qu’il n’est pas Dieu, Amedeo, que le pêcheur parmi les pêcheurs se garderait bien d’abattre un quelconque châtiment sur les hommes. Mais il y a des principes qui se paient, d’autres qui se rachètent. Cain devra donner de sa personne pour remettre les compteurs à zéro. Une affaire à terminer, tout ce qu’on lui avait demandé comme gage de liberté. C’est aussi simple que cela.

Familiarité lui est renvoyée en plein visage, non sans lui déplaire. Encore une qui n’aime pas les petits noms. Peut-être bien que son cœur n’a rien de doux, qu’il est aussi sec que celui de l’insulaire. Mais la réplique déclenche quelque chose qu’il n’avait plus vécu depuis quelques temps à présent : l’envie de jouer. « Are you a good girl sometimes ? » Et s’il connaît déjà la réponse, la provocation est tout de même lancée à l’attention de la mutine. Avant de la faire redescendre de son petit nuage de toute puissance. « You don’t need an ID. All you have to do is to tell me where is your boss. I don’t have time to lose. » C’est lui qui proclame le décompte, l’heure où la fin du petit jeu devra sonner pour aller attacher un nouveau collier autour du cou d’un cabot nommé Cain. L’œillade indiscrète s’attarde sur l’hôtesse qui a décidément mal fait son job, cherchant manifestement à lui montrer le chemin de la sortie. Mais il ne sortira pas sans cible à atteindre, quitte à attiser ses enfers pour obtenir ce qu’il est venu chercher. « I don’t think he would be pleased to hear his cute - yet too diligent - employee prevented him to see an old friend. » Le sous-entendu se glisse subrepticement dans le regard glacé, avant d’échouer, dans sa version la plus crue du murmure, contre la cochlée de la furie. « Maybe he won’t bang you as much after this, you thought about that ? » Priver le Judas de sa liberté est une chose, mais le Gaucher n’est pas assez cruel pour le priver de son dernier coup. Quand bien même le charitable serait sans doute dans les parages pour ramasser les miettes de la divine. Soupir après soupir.  
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TW/CW : misandrie, vulgarité, violence, agression physique, sang.

L’impertinente accueille la trogne scélérate qui s’inscrit dans l’incrédulité, enfant dans le corps d’un homme qui exprime son mécontentement en chagrin boudeur. Peut-être même rageur, quand la déception pointe, car quel que soit son but avec le frangin, ce n’est pas aujourd’hui qu’il l’atteindra. En deux statuts qui se jugent, aucun ne veut céder du terrain. Plantée dans le sol, Cerbère se peint d’obstination. L’âme miroir n’aura jamais meilleur garde-fou qu’elle. Il y a des syllabes qui s’échappent, étrangères qui sonnent doucement amères contre ses tympans. Mauvaise élève perçoit de l’espagnol, sans savoir qu’il n’en ait rien. Rochers dans la voix résonnent douloureusement dans sa caboche ; bizarrerie qui l’empêche de le congédier. Attrait qu’elle occulte, découpe l’impossible pour déchiffrer l’envie de lui clouer le bec. Loustics de son genre qu’elle connaît, connards à l’égo macho qui s’épanche en misogynie. Des imbéciles qu’elle prend toujours un malin plaisir à démembrer, mante religieuse à l’esprit vengeur.

Car le charlatan poursuit sa magie bancale, énonce une privation. Nix n’a pas le droit de goûter à la tentation de connaître le sujet de prédilection entre les deux hommes. Elle n’est qu’une potiche qui garde les enfers, jamais la confidente du diable. Évidemment.  « Business ? Yeah, you’re right, that’s not a topic for women… » qu’elle feint, innocente, le sucre délicat roulant sur sa langue. Hypocrisie dans sa voix tranche avec la fermeté de ses traits, beauté effacée derrière la hargne. Un peu de travers et la guerre s’enchaîne. La réceptionniste ne sait toujours pas ce qu’il veut à son univers, néanmoins, elle sait d’expérience que l’opacité des paroles esquisse le mensonge et les monstruosités. Shady story, he’s bad news. Le truand magouille un jeu dangereux, trempe ses paroles dans le miel voluptueux. Dans une autre réalité, la divine a peut-être déjà succombé aux charmes des joyaux azurs. Hélas, dans celle-ci, il ne s’attire que la folie du carmin. « Do you want me to be a good girl ? » qu’elle joue encore, prunelles dangereuses muées en papillons charmeurs. Plus efficaces qu’un uppercut. Mutine n’abandonne pas sa moue malicieuse, pauvre chose décomposée sous l’arrogance de l’italien et sa remontrance. « Oh… i’m really sorry. I didn’t know you were on a rush. » Excuses confondues dans la facétie de celle qui se joue du fier luron. Elle ment, cherche à gagner du temps pour trouver l’identité de celui qui préfère rester inconnu, pour assurer les arrières du frère. Sauf que l’adversaire a ses propres desseins. Sa langue soupire des saloperies, les prémisses de son point d’orgue. Ses lippes retiennent le sourire moqueur, parce que l’insolent piaille dans le vent. S’apprête à déplier la vérité, mais l’enfoiré murmure l’ignominie. Sa langue claque en un susurre dégueulasse contre la cochlée de Nix. La patience de la belle s’échappe, sifflement de la soupape qui se manifeste dans les billes noires qui décorent sa face.

Tant pis pour la bienséance. Son poing est déjà fermé, rage transformée en énergie dévastatrice. Juste quelques secondes pour le laisser reprendre sa place, la distance idéale pour qu’il morfle. « Oh pretty babe, you’re actually talking to his sister. » qui sonne comme le jugement dernier. Car l'instant d’après, ses phalanges s’écrasent au milieu de la figure du forcené. Direct du droit, pleine puissance pour le faire ravaler sa bêtise. Coup rapide, incisive, digne des enseignements fraternels. Ire de la femme explose sur les traits de la déité alors que des perles rubis émergent du tarin voisin. « I said : don’t sound like a fucking macho. » crache-t-elle avec mépris. Qu’il pleure, qu'il souffre, ça la fera sourire. « Try me again and next time, i punch your balls. » qu’elle lance avant de s’éclipser dans l’ombre d’une porte. Loin de la bonté, simple geste pour enfoncer le clou. Divine Nix montre sa trogne impertinente, munie de compresses et de glaces toujours présentes pour les boxeurs. « Here. For your ego. » Présents tendus alors que sa langue murmure ses délices. « That’s weird, for an old friend i can’t recall your face. » Which means, my brother doesn’t want me to know who the fuck you are. Paupières se plissent, radars pupilles qui scrutent la moindre faille de son identité. Ses yeux, trésors de l’océan, elle les a forcément déjà vu.


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You should really run away

TW/CW : sexisme++, mention de drogue et de violence

Le colosse n’pensait pas démarrer le jour dans la contrariété. Enième obstacle qui le sépare de la justice n’aura jamais été si charmant à regarder. Dommage qu’elle n’ait jamais appris à la boucler, Méduse, qu’elle montre les crocs pour défendre l’indéfendable, oubliant sa juste place dans l’équation des bandits. Voix criarde de la furie lui arrache un sourire désagréable, qu’est-ce qu’il a encore bien pu dire pour déchaîner ses démons, à elle aussi ? « Did you hear me say that…? » Harpie ne se prie pas pour transformer ses paroles pour coller à son petit imaginaire militant. Il les connaît, ces féministes qui crient au loups quand devant elles se tient le néant. Ce n’est certainement pas en montrant les crocs à tout vent qu’elle rameutera les rois à sa cause. Ça ne regarde qu’eux, parce qu’ils sont les protagonistes du léger désagrément. Qu’elle soit femme ou lampadaire n’y change rien. Son business ne la concerne pas, quand bien même madame se sent reine sur sa petite chaise de secrétaire d’un club minable.

C’est peut-être par provocation, par envie de mettre madame l’impératrice face à ses contradictions qu’il s’entête, Amedeo, à ne pas prendre congé tout de suite. Peut-être que sous ses airs grandiloquents, la harpie veut jouer un peu, et qu’Amedeo, tout professionnel et pressé qu’il est, il ne serait pas contre un peu de bon temps en sa compagnie pour oublier la rencontre malheureuse. Alors il s’attarde en ces lieux, l’insulaire. Prend place au sein de l’imaginaire décadent que lui propose les babines indécentes, y répondant sur un ton qui rejoint le petit jeu instauré par la pseudo maîtresse des lieux. « My life would be sure easier if you were. But you’re not. Are you. » Et ce n’est pas plus mal. Des bonnes filles, contentes de faire ce qu’on leur dit, et seulement ce qu’on leur dit, y en a à la pelle dans la rue, et leur empreinte ne laissera jamais sur la carcasse du client qu’un vague souvenir. Mire l’adversité dans les profondeurs de l’obsidienne, tandis que le sourire du démon abandonne toute politesse. C’est à celui ou celle qui provoquera le débordement, à celui ou celle qui aura le mot de trop. Et il sait qu’il sortira vainqueur de cette petite partie de mots en l’air, Amedeo. Ne sait pas en revanche que la harpie à les poings aussi aiguisés que sa verve.

C’était sans doute le mot de trop, l’opprobre qui a déclenché la tempête. Les écoutilles s’étaient même préparées à recevoir jérémiades et hurlements, alors que le pire est annoncé. Poffarbacco. Il y a erreur sur la personne, et il sait comme il est périlleux de relier les âmes jumelles par une honteuse allusion charnelle. Le poing part sans qu’il ne l’ai un seul instant imaginé, déforme un peu plus le nez à maintes reprises cassé durant l’enfance du voyou. Les mots qui suivent, l’impudent ne les relève pas, trop occupé à refouler le carmin éructant des naseaux, en oubliant même l’insulte qui file droit sur la langue mère. « Porca puttana ! Sei fuori di testa cos’ho detto, daje ?! » Mauvaise foi certaine le place en innocent camarade de jeu. La harpie se révèle plus piquante que prévue. Rejette l’offrande de l’attaquante, la manche du vaincu ayant déjà fait office d’effaceur. Humeur qu’il retient tant bien que mal, guidé par le principe fondamental qu’il porte sur la conscience viciée par ses principes : non si picchiano le donne. Aussi martiales et hystériques soient-elles. « Hope you’ll recall this time. You tell your brother Amedeo Mancini was looking for him. » Le nom lâché sans contraintes, affublant à la mégère le simple statut de messagère. A défaut de celui de reine. « And he better call me. He knows what happens when I lose my patience. » Elle est déjà bien entamée la patience, alors que de sa veste il tire un stylo, pour ancrer sur le fin poignet qui vient de faire couler le rouge, son numéro de téléphone. « If you feel like being a good girl… You can use it too. » Donnant même l’occasion à la guerrière de montrer une autre face que celle qui l’a accueillie en ces lieux. Le regard s’attarde un instant sur le minois piquant, avant de voler vers d’autres cieux. Reprendra plus tard la lassante besogne, pour aller débusquer le traître partout où il aura la triste idée de se cacher. Se va bene non sarà tra le pieghe della gonna di sua sorellina.

-- fine.
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