m — i lay the table with the fancy shit and watch you tolerate it

26 ans — Manager 5  — en couple
Marcus (parce qu'il faut bien lui donner un prénom) est né dans les privilèges et il transpire la haute bourgeoisie. Si on ouvre le dictionnaire à la recherche de la définition d'un dandy on y trouvera sa photo, ou bien celle de son grand-père, Lord qui s'accroche à son titre comme tout bon conservateur amoureux du décorum Membre du Parlement, fier représentant dans la house of lords - photo ops avec tous les premiers ministres des cinquante dernières années, une invitation annuelle à la Garden Party royale,  drapeaux en berne à la mort d'Elizabeth II et faire-part pour le mariage de Princesse Beatrice d'York. Le gratin Londonien qui s'écarte pour faire une place à la famille lorsqu'ils arrivent quelque part, parce qu'ils font partis de l'inner circle depuis toujours. Un jour, papa sera Lord mais pas Marcus, deuxième né de sa fratrie, THE SPARE, comme une animosité programmée entre les frangins, cette primogéniture maudite en secret.

Fils de, Fils à papa, Marcus n'a connu comme difficulté qu'une pression familiale qui n'était cependant pas insupportable, la fortune personnelle des siens pouvant rattraper la moindre de ces conneries ou, au moins, graisser la patte de n'importe quelle figure d'autorité. En dehors, peut-être, de parents absents l'ayant confié à un incessant tourniquet de nannies, gouvernantes et tuteurs, il n'y a aucune tâche au tableau... Well, sauf si on oublie les billets que papa lui glissait pour qu'il ne dise rien à maman au sujet des infidélités dont le gosse était témoin. Un rire complice, une main passée dans les cheveux du gosse, une tape dans le dos, un secret mal gardé. Ah et puis, évidemment, le déclin inévitable de maman lorsque sa jeunesse a commencé à la fuir. Le refuge pris dans l'alcool et les médicaments pour 'calmer ses nerfs' tandis qu'elle dévalisait les magasins pour combler un vide que ni ses enfants, ni son mari ne semblaient savoir remplir. Une mère entièrement absente, qui aura laissé des traces indélébiles sur Marcus, tandis que son père au moins venait le voir jouer au rugby quand il était gosse.

Écoles privées, universités prestigieuses, un pédigrée manucuré pour rentrer dans le moule familial, la camaraderie toxique et machiste des confréries portant des queues de pie pour racoler des demoiselles en état d'ébriété avancée. Marcus fait le sacrosaint combo d'Eton et d'Oxbridge, puis obtient un poste tout trouvé au sein de l'empire familial, celui de manager d'un hôtel prestigieux au coeur de Londres, cinq étoiles pour le joyaux d'une chaîne internationale à la réputation impeccable. Le tout, évidemment, sans oublier une ou deux années sabbatiques à jouer les aventuriers éméchés et irresponsables, cosplay populiste d'une plèbe dont il ne sait rien et dénigre sans peine. Aujourd'hui encore, les responsabilités sont secondaires, quand il y pense, quand il daigne s'attarder dessus, quand personne n'a déjà terminé sa to do list pour lui. Il pourrait presque s'emmerder, face à ce manque de challenge dans sa vie quotidienne, si ça ne lui laissait pas autant de temps libre pour s'occuper avec toute l'oisiveté de la petite noblesse.

en plus, en vrac : rugby and polo player ; classic rock fan ; minimalist ; a worse logan huntzberger ; beer with the lads ; riot club vibes ; probably peaked in university ; into photography ; huge snob ; got a classic lotus for his 18th birthday ; unhappy but great at hiding it in society.

Les liens

— @daphne wickham Quand ils se sont croisés, Daph avait dix-huit ans et lui vingt-deux. Il lui a couru après, parce qu'avec ses grands yeux de princesse Disney, elle a attiré son attention, il y a vu du potentiel. Pas une conquête, mais une fille qu'on peut ramener pour les repas dominicaux chez les parents, qui présente bien, polie et jolie malgré le manque de statut social. Rien d'irrémédiable, après tout maman aussi était une roturière avant d'être intronisée dans la famille. Le truc, c'est qu'une fois Daphne prise dans les filets, coincée là par une stratégie bien calculée durant laquelle Marcus lui a fait la cour, les choses ont changé. Elle a emménagé avec lui et puis, il a changé, arrêtant les efforts. Daph est douce, patiente, sensible, elle s'excuse de l'avoir énervé, cherche à changer pour avoir son intérêt, ne regarde pas ses écarts, pardonne ses humeurs. Elle le materne, tendre et trop aimante, paillasson sur lequel il peut s'essuyer les pieds sans vergogne, quitte à la malmener puisqu'elle trouve toujours en elle de passer outre. Demoiselle en détresse qu'il sauve d'un destin merdique, elle bossait même sous son égide au palace, animant des goûters élégants pour la marmaille bourgeoise Londonienne. Mais ça c'était avant. Avant qu'elle ne déclare avoir besoin d'espace, avant qu'elle ne dise vouloir de l'indépendance. Elle ne vit maintenant plus avec lui, travaille ailleurs, Dieu sait où et le manque de contrôle fait paniquer Marcus. Il veut la récupérer, pas parce qu'il l'aime mais parce qu'il a besoin de ce qu'elle représente. Une façon de répéter le schéma parental en mieux, parce qu'elle, elle s'occupera de leurs enfants, même s'il fait comme papa et la trompe à tout va. Le problème c'est que Daph n'est pas sa mère et n'est plus aussi docile, après des années à ne pas être aimée correctement malgré les efforts, malgré les sacrifices, elle s'éloigne - pour de bon.

— The Bratty Bunch (lire les pl) A la base, les copines de Daphne sont les amies de Marcus, ou sortent avec des gens de son groupe de potes à lui. Bourgeoisie éhontée, jeunesse dorée, c'est une clique qui se connait depuis les années lycées et qui a fait les quatre-cent coups. Des liens sont donc à établir avec @Sissi Mayfair et @Avalon Arrington, ainsi qu'avec @Jules Velasquez (cf le lien suivant). Le groupe de pestes malmène, l'air de rien (certaines sont plus discrètes que d'autres) Daphne depuis des années et Marcus laisse faire, sans la défendre, sans intervenir, convaincu (à grand renfort de mauvaise foi sans doute) que c'est juste bon enfant et que ça finira par passer.

— @Jules Velasquez Au même titre que toute la brochette de pestes, Marcus a rencontré Jules dans des soirées lycéennes. Difficile de dire réellement comment, mais ils sont devenus ‘amis’, autant qu’on puisse l’être quand leurs egos prennent toute la place. Chacun éclipsé par le côté clinquant de l’autre, ils avaient ce genre de relation où on se voit peu et on se dit rien, mais toujours avec le sourire. ♢ Lorsque Jules s’est mise à sortir avec Theo après qu’il les ait présentés, Marcus avait cette étrange satisfaction de celui qui a formé un couple. Leur histoire a pris fin sans qu’il ne comprenne pourquoi et ses relations avec Theo se sont distendues du même coup. La version de Jules, c’est que ce n’était qu’un gros con et Marcus n’a aucune raison de ne pas la croire. ♢ Récemment, alors que Daphne a quitté l’appartement pour aller vivre dans la colocation de Theo, Jules est en quête de sa vengeance à la fois vis-à-vis de son ex et de cette petite peste blonde trop parfaite. Marcus lui fournit l’instrument parfait pour les atteindre tous les deux : son amitié avec le dandy devient subitement horizontale. Ce qui devait être une one-night stand finit par se répéter, et les deux ‘amis’ de s’avouer qu’ils font un excellent binôme pour briser des cœurs et des couilles. (à développer inRP)

— le grand frère pl à venir d'un dc qui arrive bientôt

— @Theo Milton Marcus et Theo étaient meilleurs amis depuis l'enfance. Ils se sont rencontrés sur les bancs de l'école et personne ne comprenait vraiment pourquoi ils étaient amis tant ils étaient différents l'un de l'autre et pourtant, ils étaient toujours fourrés ensemble – enfin, c'est plutôt Theo qui restait constamment dans l'ombre de Marcus. Et puis, un beau jour, Theodore a pété un plomb et s'est barré sans rien dire. Plus de nouvelle, les messages et les appels se sont enchaînés sans qu'il ne daigne répondre, alors Marcus a décidé de lâcher l'affaire, parce qu'il avait d'autres potes et surtout d'autres chats à fouetter. Ça aurait pu en rester là, "ok salut bon débarras", si Daphne n'avait pas eu la fabuleuse idée de rejoindre la coloc bordélique d'un groupe de metalcore dont Theo fait partie, dans un superbe manoir dont il a hérité il y a quelques années de cela. Comme quoi Londres, c'est plus petit qu'on ne le pense...

— Autres liens prévus / possibles Ren ! Harry ? Amelia !!

Ça fait déjà un moment que j'te tiens la jambe, je vais essayer d'enchaîner rapidement avec les informations supplémentaires :

Attentes générales : Pour ce prélien, je cherche évidemment quelqu'un qui saura le jouer avec nuance. Au-delà de ça, cependant, je cherche surtout quelqu'un qui pourra se l'approprier et lui donner vie à sa façon, friande de voir comment il peut-être interprété entre d'autres griffes que les miennes. Je suis ouverte à toutes les idées, toutes les possibilités, du moment qu'elles sont amenées de façon rationnelle au personnage    Idéalement, la personne tentant 'Marcus' cherchera à s'intégrer plus que dans les limites du lien et à vraiment rejoindre la communauté de Concrete Jungle
Préférences à l'écrit : Je ne suis pas très à l'aise avec la rédaction à la première personne du singulier. De la même façon, je préfère la prose 'classique' aux plumes entièrement poétiques  
Présence et activité : Pas foudre de guerre moi-même, j'attends juste une présence régulière et une communication ouverte. J'assure en moyenne une réponse tous les cinq jours (sauf obligations personnelles) et l'activité SMS complète la dynamique. De préférence, je communique via Discord, je m'égare parfois en MP, mais ce n'est pas une obligation
Pseudo & avatar : Concernant le pseudo, s'il s'appelle 'Marcus' ici, ce n'est que pour éviter les 'il' à répétition. Son prénom et son nom de famille sont libres, du moment que ça fait bien brit', bien bourgeois, bien tout ça. Pour ce qui est de l'avatar, open game. J'avais pensé à Drew Starkey, Paul Mescal ou encore Timothée Chalamet ; on part sur une aesthetic old money, probablement blanc parce que ah! on se sait, les lord ne sont pas les rois de la diversité   n'hésite pas à proposer des noms, je suis ouverte à toutes les idées même si je me garde un droit de veto, au cas où  

Merci d'avoir pris le temps de lire ce maxi-pavé format familial, j'espère avoir su t'intéresser et te convaincre si tu es arrivé.e jusqu'ici ! A tout bientôt, je croise les doigts