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f - run this town



Van Klein
Van Klein

Messages :  21
Pseudo :  desert bleu ; elle/she
Faceclaim :  oder
Crédits :  desert bleu
Selfie :  f - run this town Aesthetic-gif-11
Citation :  Donne-moi un briquet, j'fais un feu, donne-moi un feu, j'fais l'enfer
Âge :  vingt sept ans
Pronom :  il
Statut Civil :  jeter au feu, le coeur inutile
Occupation :  chauffeur de taxi, petite frappe mise au vert, regarde toujours en scred les flics passé
Habitation :  lewisham, le studio sous les toits
In game :  environ 400/500 mots, français uniquement
Triggers :  nope
Warnings :  violence, braquage à main armée, arrestation, prison, prise d'otage

   
run this town


Me prouver à moi, en prouvant à leurs frères
Qu'ils en ont dans le froque en provoquant l'enfer
Qu'ils puissent étoffer leur palmarès
Pour alimenter le pacte
Jusqu'à ce qu'ils se perdent dans leurs prouesses
Je leur ai inculqué qu'il n'y a ni bien ni mal
Juste des faibles et des forts à l'instinct animal

TW/CW : violence, braquage à main armée, prise d'otage, ptsd, lutte des classes
: oui

entre 24 et 27 ans — vendeuse en bijouterie/orfèvre — statut social au choix

elle n'a jamais eu peur de rien, Faye, pas même du croc mitaine, ou des genoux écorchés que font les chutes à vélo, pas même des fantômes ou des monstres dans les placards, pas même des films d'horreur qui la font mourir de rire, ou du dernier souffle de papy. non, elle a toujours eu peur de l'ennui. que sa vie ne soit qu'un fleuve doux, lancinant et trop tranquille. elle a toujours supplié l'univers pour qu'on la sorte de là, qu'on la secoue un bon coup, et qu'on fasse de sa vie un fleuve aussi tortueux que le Mississipi. elle n'a jamais eu à se plaindre pourtant, on lui a tout donné, de la naissance du bon côté de cette ville, aux écoles prestigieuses, des cours de poney à ceux de danse classique. et si Faye sais qu'elle n'a aucune raison de se plaindre, elle sait aussi que l'argent ne fera pas son bonheur.

le signe du destin qu'elle attendait est arrivé, un mercredi après midi, alors que le soleil tombe déjà à l'autre bout de la terre, plonge dans la pénombre les rues à la lumière blafarde. les dernières heures de la journée, celle ou tout se termine, ou l'on se presse pour rentrer chez soi, vite, vite avant qu'il ne fasse nuit. ((extrait de ma fiche)
la bijouterie se vide des derniers clients, quelques âmes de passage, une vendeuse seule pour la fermeture, son boss bien planqué dans l’arrière boutique, le dernier couple de futurs jeunes mariés s’échappant de l’échoppe. “C'est l’heure”, a t-il prononcé. quatre. quatre cagoules, armes aux poings. quatre pour s’emparer du butin, pirate attrape tout ce qu’il peut, menace, gueule, pas un coup mais une violence certaine dans tous les gestes qu’ils exécutent. on attrape la gamine sous le bras, le canon sur la tempe. elle n’a pas tremblé pourtant, van le sais, van l’as vu quand il a croisé son regard. Ces grands yeux qui voulaient dire qu’ils n’auraient rien d’elle, pas un cri, pas une larme, juste une peur silencieuse. “C'était pas le plan putain” la voix tremble, incertaine et en colère. il suffit d’un homme pour que le plan échoue et que les événements prennent une tout autre tournure. c’était pas le plan, et il fallait agir. Et elle a beau jurer qu’elle ne dira rien, personne ne la croit. ses mots s’essouffle dans la prise d’otage, et Van ne peut concevoir que sa “carrière” de petit voleurs ne devienne celle d’un tueur. promesse faite avec les yeux, il s’oppose, sa voix pour grogner, la libérée.
dans la poche les papiers d'identité de l'inconnue qui ne l'est plus, Faye, la bijoutière. celle que Van s'est promis de protéger. Coute que coûte. menacer de la retrouver si elle parlait, et dans chaque nuit sombre, l'impression constante d'être suivis.

Les liens

Van Klein elle n'a pas vraiment reconnu le garçon qui l'a aidé le week-end dernier à ramasser ses courses, il était là, passant sur le trottoir quand le sac en papier a rompu sous la pluie fine d'une Londres en fin d'hiver. sa journée ne pouvait pas plus mal tourner, les réveils en catastrophe qu'elle fait depuis l'incident à la bijouterie, et cette inlassable impression qu'à tout moment ils viendront la chercher. elle ne se serait jamais retournée sur lui, pas avant ce jour, mais cet après midi là, son sourire avait quelque chose de réconfortant. dans ses yeux ? un air de déjà vu, mais elle ne sait mettre un nom sur cette impression. et Faye dans sa vie qui prend l'eau, est bien loin d'imaginer que son sauveur est aussi son bourreau.


en plus

viens installe toi, met toi à l'aise. Je fais vite :  fait c'est pour les besoins de l'écriture, l'âge, le statut est libre d'être modifié, son métier pas forcément, mais elle peut avoir changé depuis la prise d'otage. pour l'avatar je ne suis pas vraiment difficile, petit plus pour les gueules pas trop connues, j'aime beaucoup les mannequins, les visages avec "de la force", des expressions. mais je suis pas chiante alors propose, n'hésite pas. je rp au "tu", en général, environ 500 mots, et niveau activité, c'est variable.

(icons) pinterest, (citation) kenny arkana, la mère des enfants perdus // inspiré du film "The Town"